Sunday, August 25, 2013

Le lecteur de DVD-Rom


Le DVD-Rom est maintenant intégré sur presque toutes les machines vendues, il remplace souvent le lecteur de CD-Rom. En fait, le lecteur de DVD est une amélioration du lecteur de CD-Rom standard. Les alvéoles du disque étant beaucoup plus petites et moins espacées, il est possible de stocker beaucoup plus de données. Pour ce faire, il a aussi fallu adapter les lasers qui lisent ses données pour qu'ils aient une longueur d'onde beaucoup plus faibles.


Il existe plusieurs types de DVD: Il y a ceux qui sont gravés sur une face et une couche, une face et deux couches, deux faces et une couche et deux faces et deux couches. Pour pouvoir lire sur deux couches, le laser dispose deux deux intensités différentes et le DVD a une couche en or et une couche en argent.

Comparaison des différents types de disque DVD-Rom avec le CD-Rom classique
SupportCapacitéDurée de musique possibleEquivalent en CD-Rom classiques
CD-Rom classique650 Mo1h181
DVD simple face et simple couche4,7 Go (4812 Mo)9h307
DVD simple face et double couche8,5 Go (8704 Mo)17h3013
DVD double face et simple couche9,4 Go (9625 Mo)19h14
DVD double face et double couche17 Go (17408 Mo)35h26
Les DVD sont aussi connus dans le domaine de la vidéo, ils sont en effets amenés à remplacer nos magnétoscopes VHS actuelle dans votre salon, d'autant plus que sur un DVD on a en plus le droit à plusieurs langues séléctionnables grâce aux menus interactifs. Les DVD-Vidéo, sont aussi lisibles sur le lecteur de votre PC, mais attention, avant d'acheter un DVD aussi bien pour votre salon que pour votre ordinateur il faut faire attention à la zone dans laquelle vous êtes ! En effet, le monde à été découpé pour éviter que les DVD soient piratés. Étant donné que tous les films sortent aux États Unis avant l'Europe, il serait très mauvais pour le cinéma de voir des films importés des États Unis et pas encore en salle en France. La France se trouve dans la zone 2.
Voici la carte du découpage des zones dans le monde :
Carte du monde avec les zones pour les DVD

La carte mère

La carte mère est un élément essentiel de votre ordinateur, c'est à elle que tous vos périphériques son connectés. Vôtre scanner, votre imprimante, votre modem, votre clavier, votre souris... Bref tous les éléments externes que vous utilisez couramment.
Mais il n'y a pas seulement les éléments extérieurs à votre ordinateur que vous voyez et utilisez qui sont connectés à la carte mère, il y a aussi la carte graphique, la carte son et toutes les autres cartes qui y sont connectées...
Il y a aussi encore autre chose de connecté sur cette fameuse carte, le processeur ! Cet élément est souvent un des éléments le plus cher dans l'achat d'un ordinateur, et c'est de cet élément là dont tout le monde parle ! Sans ce composant, votre ordinateur n'est rien ! Pour savoir et comprendre comment marche le cerveau de votre ordinateur, voici un article sur le processeur
La carte mère est vraiment un élément essentiel au fonctionnement de votre ordinateur, et voici un schéma qui, je l'espère vous aidera à mieux comprendre le role qu'elle joue à l'interieur de l'ordinateur :
 La carte mère est un élément essentiel de votre ordinateur, c'est à elle que tous vos périphériques son connectés. Vôtre scanner, votre imprimante, votre modem, votre clavier, votre souris... Bref tous les éléments externes que vous utilisez couramment.
Mais il n'y a pas seulement les éléments extérieurs à votre ordinateur que vous voyez et utilisez qui sont connectés à la carte mère, il y a aussi la carte graphique, la carte son et toutes les autres cartes qui y sont connectées...
Il y a aussi encore autre chose de connecté sur cette fameuse carte, le processeur ! Cet élément est souvent un des éléments le plus cher dans l'achat d'un ordinateur, et c'est de cet élément là dont tout le monde parle ! Sans ce composant, votre ordinateur n'est rien ! Pour savoir et comprendre comment marche le cerveau de votre ordinateur, voici un article sur le processeur
La carte mère est vraiment un élément essentiel au fonctionnement de votre ordinateur, et voici un schéma qui, je l'espère vous aidera à mieux comprendre le role qu'elle joue à l'interieur de l'ordinateur :
 La carte mère est un élément essentiel de votre ordinateur, c'est à elle que tous vos périphériques son connectés. Vôtre scanner, votre imprimante, votre modem, votre clavier, votre souris... Bref tous les éléments externes que vous utilisez couramment.
Mais il n'y a pas seulement les éléments extérieurs à votre ordinateur que vous voyez et utilisez qui sont connectés à la carte mère, il y a aussi la carte graphique, la carte son et toutes les autres cartes qui y sont connectées...
Il y a aussi encore autre chose de connecté sur cette fameuse carte, le processeur ! Cet élément est souvent un des éléments le plus cher dans l'achat d'un ordinateur, et c'est de cet élément là dont tout le monde parle ! Sans ce composant, votre ordinateur n'est rien ! Pour savoir et comprendre comment marche le cerveau de votre ordinateur, voici un article sur le processeur
La carte mère est vraiment un élément essentiel au fonctionnement de votre ordinateur, et voici un schéma qui, je l'espère vous aidera à mieux comprendre le role qu'elle joue à l'interieur de l'ordinateur :

Avec Plug-n-Hack, Mozilla renforce la sécurité des navigateurs


Le protocole conçu par Mozilla facilitera l’interaction entre les solutions de sécurité et les navigateurs. Crédit : D.R
Le protocole conçu par Mozilla facilitera l’interaction entre les solutions de sécurité et les navigateurs. Crédit : D.R
L'équipe de sécurité de la Fondation Mozilla  prépare un protocole baptisé Plug-n-Hack pour que les outils de sécurité interagissent plus facilement avec les navigateurs web.
Mozilla travaille au développement d'un protocole qui permettra aux outils de sécurité et aux navigateurs web de mieux fonctionner ensemble. « La configuration d'un browser avec une solution de sécurité exige de développer des extensions spécifiques aux deux logiciels et ce processus décourage les utilisateurs non expérimentés », a indiqué Simon Bennetts, ingénieur sécurité chez Mozilla. Baptisé Plug-n-Hack (ou PnH), ce protocole permettra aux extensions de sécurité de fonctionner plus simplement avec un navigateur.

Actuellement, si un utilisateur veut, par exemple, intercepter le trafic HTTPS, il doit configurer des connexions proxy via le logiciel de sécurité  et le navigateur et importer un certificat SSL (Secure Sockets Layer), a ajouté l'ingénieur. «Si l'une de ces étapes n'est pas correctement effectuée,  le navigateur ne parvient généralement pas à se connecter aux sites web  et résoudre ce type de problèmes peut s'avérer frustrant et chronophage», a-t-il souligné.

Les utilisateurs peuvent également avoir besoin de passer souvent de l'outil de sécurité au navigateur pour intercepter une demande HTTPS. Selon Simon Bennetts  PnH permettra aux outils de sécurité de déclarer que la fonctionnalité qu'ils supportent  est appropriée pour une invocation directe depuis le navigateur. Le protocole actuel et l'implémentation de Firefox sont publiés sous Mozilla Public License 2.0 ce qui signifie que PnH pourra être incorporé gratuitement dans des produits commerciaux.

Monday, July 22, 2013

iPhone screen recording app slips onto the App Store


An iPhone application that allows users to record their screens, including screen activity while using third-party apps on your phone, has managed to sneak onto the App Store.
xRec, which was published on Saturday and costs $1.99 on (iTunes), can record screen activity in its entirety. The software requires an active Internet connection to work and, according to tech site Giga (Google Translate), uses code from jailbreak app RecordMyScreen, which offers a similar feature set and user interface.
The app shows a red, pulsing bar at the top of the screen when it's recording, something that cannot be removed. Users also can record audio at various quality levels with the app. You can save the captured data to your camera roll or send it to other installed apps.
Screen recording is not something Apple provides to developers to add to their apps, let alone something that can record activity in other software.
The software, which Apple likely will remove, requires iOS 5. Its developer says it will not work with iOS 7, Apple's upcoming mobile operating system update.
This is not the first screen recording app to hit the App Store, but the capability to record activity from other applications is unique. iOS app UX Recorder also records on-screen activity, but it's limited to the front-facing camera and the Web browser built into the app.

Tuesday, July 2, 2013

Opera 15 arrives with Chromium-based rapid-release revamp

The Opera Software browser brain transplant that began on Android is now complete for Windows and OS X users, too.
The Norwegian company has been rebuilding Opera on the same browser engine Google uses within Chrome, scrapping its own Presto engine. The first fruits of the transformation arrived onAndroid devices, but now the new Opera 15 has been released for personal computers, too.
A browser engine's job is to process all the HTML, JavaScript, and CSS instructions on a Web page or Web app then render the result on the screen. Although Opera is following Chrome at this low level by using the engine with the open-source Chromium project, it's got a number of interface features that distinguish it from Google's browser.Among them:
• Speed Dial, long an Opera feature for presenting frequently-used Web pages, now lets people group multiple links into folders.
• Off-Road Mode uses Opera's proxy-browsing infrastructure to speed performance with slow networks. With the technology, Opera servers send boiled-down versions of Web pages. The feature automatically turns itself off when you get back to a fast connection.
• The Stash feature can be used to collect screenshots of Web pages in a centralized location for future reference. The interface shows small versions of the pages that you can expand, and you can label snapshots with keywords to find them later.
• Opera Discover presents a selection of Web pages based on a user's expressed interests such as regional news or sporting events.
Opera fans who want the rest of their old interface back should be patient, said Lars Boilesen, Opera Software's chief executive, in a statement: "Stay tuned for some of our most beloved features as we continue to develop the next generation of Opera."
One hot item to rebuild is synchronization of browser settings and data through the Opera Link effort, said Opera Product Management Director Sebastian Baberowski in a blog postTuesday. Also on the list for the next release are themes to customize the browser's appearance and Opera's more visual system for tab management.
are themes to customize the browser's appearance and Opera's more visual system for tab management.
Opera plans to keep its older Presto-based 12.x browser updated with security patches, and the company is working on an update, 12.6, Baberowski said:
We have neither asked nor forced our 12.x users to upgrade to Opera 15, as we know that some features that are important to you are still to come. So, while you are very welcome to test and use Opera 15, Opera 12.x will still be alive for some time. You can expect that we will keep Opera 12.x up to date and secure. In the future, once we are comfortable with the feature set, we may ask you to upgrade.
Opera has hung onto a small fraction of browser usage on the PC, and its Opera Mini browser continues to have a reasonable foothold in the mobile market. But Opera Mini is chiefly used on the lower-end phones that are losing out to modern Android and iOS smartphones. Opera concluded it would be better to devote its engineering resources to the Chromium project than to continue with its independent Presto work.
Google releases new versions of Chrome about every six weeks to distribute new technology as soon as possible, and Firefox has followed the same approach. Now Opera, which had been accelerating its development already, plans to move faster as well with its own rapid-release process. The company has been contributing code to the Chromium project, too.
Chromium began with the WebKit browser engine also used in Apple's Safari, but to enable more substantial changes, Google forked that software project into its own Blink project.
Opera released a beta version of the Chromium-based browser in late May under the Opera Next label. Opera releases three versions of its browser: stable, Opera Next, and for the most adventurous, Opera Developer.

Take Windows 8.1 for a spin with the new Preview build


Microsoft has finally opened its doors for users to check out the upcoming changes to Windows 8.1, the first major update to its flagship OS.


On Wednesday, Microsoft released their highly-anticipated preview build of Windows 8.1.Windows 8.1 promises numerous improvements to search, the Windows app store, cloud storage, and enhanced personalization features. In particular, Windows 8.1 also promises a potential "revival" of the oft-missed Start button.
Microsoft has also released an in-depth preview guide for users to showcase some of their major changes to the flagship OS.
We'll be taking 8.1 for a preview spin, but the preview update is free to download. Just remember to back up any sensitive files in case you need to revert back to Windows 8.0.

Tuesday, June 25, 2013

L'impression 3D produit des micro-batteries

L'impression 3D produit des micro-batteries : 


Explication de l'impression 3D d'une micro-batterie Crédit Photo: D.R
Explication de l'impression 3D d'une micro-batterie Crédit Photo: D.R
Des chercheurs de l'Université de Harvard de celle de l'Illinois ont développé la première batterie imprimée en 3D. Sa taille est inférieure à 1 mm de large, soit plus petit qu'un grain de sable. Elle pourrait trouver sa place dans des lunettes connectées par exemple.
Des chercheurs ont  réussi à imprimer en 3D une micro-batterie d'une taille inférieure à 1 mm. Malgré sa petite taille, l'équipe de chercheur affirme que la batterie dispose de beaucoup de puissance. Par ailleurs, la méthode d'impression 3D utilisée pourra être utilisée pour personnaliser la fabrication des batteries sur des dispositifs de tailles différentes.

Pour créer la batterie, les scientifiques ont mis au point une imprimante 3D spéciale dotée d'une buse mesurant 30 microns de diamètre. Les chercheurs ont également élaboré des encres spéciales avec deux types de nanoparticules à base d'oxyde métallique de Lithium qui agissent comme l'anode et la cathode de la batterie. L'imprimante expulse ces deux encres qui s'articulent et s'enchevêtrent. Après cette étape, les chercheurs ont ensuite plongé les électrodes imprimées dans une solution électrolyte pour compléter la batterie.

Une vraie batterie pour des appareils mobiles

En règle générale, la création d'une pile miniature nécessite le dépôt de minces films de matériaux solides pour construire les électrodes. Malheureusement, ce genre de micro-piles à l'état solide n'embarque pas assez d'énergie pour alimenter des dispositifs très fins. L'impression en 3D de la batterie permet aux chercheurs de créer des piles bien entrelacées, des électrodes ultra-minces pouvant contenir plus d'énergie. Shen Dillon, professeur adjoint au laboratoire Génie des sciences des matériaux à l'université de l'Illinois, souligne dans un communiqué, « la performance électrochimique est comparable à celle des batteries commerciales en termes de charge et de décharge. Nous sommes tout simplement en mesure de réaliser cela sur une échelle beaucoup plus petite ».

L'équipe de scientifiques expliquent que leur micro-batterie imprimée en 3D pourra apporter un plus grande puissance à certains dispositifs miniatures, comme « les implants médicaux, des caméras et des micros qui peuvent intégrer des lunettes ». Les Google Glass pourraient donc avoir une plus grande autonomie dans un avenir proche.

Les composants de l'iPhone 5S se dévoilent sur le web

Les composants de l'iPhone 5S se dévoilent sur le web :


Très détaillées, les photos de l'iPhone 5S n'indiquent pas de profonds changements. Crédit photo MacRumors
Très détaillées, les photos de l'iPhone 5S n'indiquent pas de profonds changements. Crédit photo MacRumors
Le moulin à rumeurs autour de ce que sera l'iPhone 5S a bien fonctionné la semaine passée, et des détails sur plusieurs éléments sensés entrer dans la fabrication du futur mobile d'Apple ont circulé sur le web.
Lundi dernier, on a pu voir des photos de la prétendue carte logique du futur iPhone, laquelle ressemble, à peu de choses près, à celle de l'iPhone 5. La photo, prise par un certain Moumantai, a d'abord été repérée sur le blog japonais MacOtakara. D'après cette image, l'espace réservé au processeur semble avoir la même taille que celui occupé par la puce A6 sur la carte logique de l'iPhone 5. La seule différence visible, c'est la présence d'un trou pour laisser passer une vis dans la partie supérieure de la carte. La partie inférieure de la carte est aussi légèrement différente au niveau de l'emplacement du haut-parleur.

Mais les fuites ne concernent pas uniquement la carte logique. Des photos supposées représenter l'écran de l'iPhone de prochaine génération sont également apparues sur le net. MacRumors a mis en ligne des photos de l'écran provenant de iHeartRepair et de Fone Fanatic. Sur la base de ces images, le site fait remarquer que celles-ci ne montrent pas de grand changement en terme de technologie d'écran. Le futur display semble avoir la même taille que l'écran de l'iPhone 5. Mais les images ont l'air de coller avec celles de la carte logique apparue sur le net, ce qui laisse penser que les éléments divulgués sont peut-être authentiques.

Des photos intérieurs et extérieures de l'iPhone 5S

Jeudi dernier, de nouvelles photos sont apparues en ligne, montrant cette fois un soi-disant iPhone 5S assemblé. MacRumors dit avoir reçu plusieurs images semblant montrer l'intérieur et la coque arrière de l'iPhone de prochaine génération d'Apple, dans laquelle on peut voir la même carte mère que celle diffusée précédemment. Ces photos comportaient une puce, mais sans aucune étiquette, si bien qu'il est difficile de savoir si c'est une puce A6 ou la puce A7 qui, selon d'autres rumeurs, pourrait être intégrée dans le futur iPhone. Les photos montrent aussi un prototype de batterie et d'autres composants internes.

En ce qui concerne le boîtier arrière, les nouvelles images montrent une ouverture plus grande au niveau du flash LED, suggérant que le prochain iPhone pourrait disposer d'un double flash. Cela vient conforter la rumeur, encore une, selon laquelle le prochain iPhone sera doté d'un meilleur appareil photo.

En tout état de cause, le vrai nouvel iPhone devrait sans doute sortir à l'automne, en même temps que le futur iOS 7 annoncé par Apple

IBM va ouvrir un centre de services à Lille

IBM va ouvrir un centre de services à Lille : 


IBM France va créer un centre de services à LIlle. Crédit: D.R
IBM France va créer un centre de services à LIlle. Crédit: D.R
En pleine restructuration, IBM a annoncé l'implantation d'un centre de prestations techniques à Lille pour la fin 2013 qui se soldera par la création de 700 postes.
C'est désormais officiel. IBM va implanter un centre de services à Lille. Cette annonce a été faite ce lundi en fin d'après-midi par Alain Bénichou, président d'IBM France, en présence d'Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif et de Martine Aubry, maire de la ville. Effectif fin 2013, ce site permettra la création de près de 200 emplois dès la première année et de 700 emplois à terme. Il sera situé sur le site EuraTechnologies, le pôle lillois dédié aux activités numériques qui regroupe aujourd'hui près de 130 entreprises employant plus de 1700 salariés.

L'idée et de fournir aux clients français de Big Blue des compétences technologiques de proximité en termes de développement et de gestion d'applications ainsi que des services d'intégration de systèmes.  Le groupe s'appuiera sur Pôle emploi, les écoles, universités et collectivités locales pour réaliser ses recrutements.

1 200 postes supprimés en France

 « Ces deux dernières années, IBM a investi massivement en France avec la création de France Lab ou encore l'ouverture du premier centre de cloud public à Montpellier, dernier né d'une série de datacenters en France », a commenté Alain Bénichou, dans un communiqué. 

Cette nouvelle intervient alors que l'entreprise est en pleine restructuration. En France, la compagnie a annoncé la suppression de 689 postes en 2013 sur les 9 700 que compte le groupe via un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE).  Dans l'Hexagone, 1 200 coupes devraient intervenir d'ici la fin 2014.

HP montre un PC tout-en-un avec Android

HP montre un PC tout-en-un avec Android :


A Pékin, HP a dévoilé en avant-première un PC tout-en-un livré avec Android 4.2.2
A Pékin, HP a dévoilé en avant-première un PC tout-en-un livré avec Android 4.2.2
Le HP Slate 21 arrive avec un petit OS pour terminaux mobiles connu sous le nom d'Android. Après le N3-220 d'Acer, une vraie tendance se dessine sur le marché. Le sursaut qu'attendait un segment en crise ?  
Après l'Acer N3-220, Hewlett-Packard apporte également sa contribution Android au marché des PC avec un tout-en-un 21,5 pouces livré avec le système d'exploitation de Google. Le dispositif, appelé Slate 21, a été mis en valeur lors d'un événement HP ce lundi à Pékin. Exclusivement équipé d'Android 4.2.2, il repose sur une puce ARM Nvidia Tegra 4 associée à un écran tactile IPS haute définition (1080p), selon le blog officiel de la société en Chine. La machine sera livrée avec 8 Go d'espace de stockage, extensible via une carte microSD. On note la présence de trois ports USB 2.0 Son prix sera de 399$ HT alors qu'une version comparable avec Windows 8 est facturée 499$ HT environ.

Un PC tactile tout-en-un signé HP mais sans Windows...

Plus tôt ce mois-ci, le fabricant taïwanais de PC Acer a également présenté au salon Computex à Taipei un PC tout-en-un 21,5 pouces lui aussi animé par Android. Baptisé Acer N3-220, ce PC utilise un processeur ARM Nvidia Tegra 3 cadencé à 1,6 GHz et sera disponible à l'automne.

Android pour sauver le marché des PC ?


De plus en plus, les fabricants de PC font des expériences avec Android, étant donné que les machines reposant sur Windows 8 ont du mal à attirer les consommateurs, selon les analystes. Google favorise Android comme système d'exploitation libre et ouvert, et de nombreuses entreprises de haute technologie sont déjà appuyés sur cet OS pour construire leurs smartphones et leurs tablettes. Rappelons que HP a déjà proposé un Chromebook animé par le Chrome OS du même Google. L'écosystème Android est toutefois beaucoup plus riche au niveau des applications.

Les fabricants de PC s'en sortiront-ils en diversifiant leurs catalogues avec plus d'appareils Android, « mais la question qui vient immédiatement à l'esprit est de savoir à quoi cela va-t-il ressembler ? », a déclaré Bryan Ma, analyste chez IDC. « La plupart des bonnes applications Android ne sont pas vraiment adaptées pour des écrans plus grands. » D'autres constructeurs ont choisi d'adopter une approche plus hybride. Tant Asus et que Samsung ont dévoilé ce mois-ci des convertibles tablette/PC portable - sur base Intel cette fois - qui peuvent exécuter à la fois Windows et Android.

Database 12c, le PDG d'Oracle dévoile le futur concurrent de HANA

Database 12c, le PDG d'Oracle dévoile le futur concurrent de HANA :


Larry Ellison lors du dernier salon OracleWorld à San Francisco. Crédit IDG NS
Larry Ellison lors du dernier salon OracleWorld à San Francisco. Crédit IDG NS
Larry Ellison, le PDG d'Oracle, n'a pas attendu le lancement officiel de Database 12c pour dévoiler sa prochaine base de données. Apparemment, celle-ci sera la réponse la plus directe d'Oracle à la plate-forme in-memory HANA de SAP.
Hier, lors d'une conférence téléphonique consacrée aux résultats trimestriels de l'entreprise, celui-ci a déclaré : « Oracle Database 12.1c sera une base de données in-memory en colonne, compressée, à grande vitesse ». Ajoutant : « A cause de Database 12.1c, j'ai toujours pensé que HANA de SAP ne pourrait pas rivaliser avec Oracle ». Comme il l'a expliqué, « Oracle a prévu de coupler Database 12.1c avec de nouveaux systèmes équipés de grandes quantités de mémoire DRAM ». Par contre, Larry Ellison n'a pas vraiment dit à quel moment cette future base de données in-memory 12.1c serait livrée. Jusqu'ici, l'éditeur mettait surtout en avant sa solution Exadata Database Machine et son appliance in-memory Exalytics comme alternative à HANA.

Les systèmes HANA utilisent aussi beaucoup de DRAM pour conserver les informations dans la mémoire principale plutôt que de les lire sur des supports de stockage plus lents, de manière à offrir un gain en performance très conséquent selon l'avis de SAP. Dans un courriel, le porte-parole de SAP, James Dever, a minimisé les propos de Larry Ellison, disant que HANA avait connu un taux de croissance plus rapide qu'Exadata, et qu'il offrait à ses clients une palette plus large de fonctionnalités.

Un lancement imminent  

Pendant la conférence, Larry Ellison a également fait comprendre que le lancement tant attendu d'Oracle Database 12c pourrait être imminent. Interrogé sur l'impact que pourrait avoir Database 12c sur les revenus de licence, le PDG d'Oracle a dit qu'il fallait patienter jusqu'à la semaine prochaine pour prendre connaissance d'une série d'annonces « surprenantes » que feront « les plus grandes et les plus importantes sociétés SaaS et vendeurs d'infrastructure du cloud ». Selon lui, des fournisseurs comme Salesforce.com et Netsuite, vont « s'engager en faveur de la technologie d'Oracle pour les années à venir ». « Database 12c doit servir de « base pour construire un cloud moderne », qui va permettre de livrer des applications avec un degré d'efficacité plus élevé », a ajouté Larry Ellison. Mais celui-ci n'a pas voulu donner plus de détails sur ces annonces.

Beaucoup de fournisseurs SaaS parmi les plus importants, dont NetSuite et Salesforce.com, utilisent depuis longtemps la base de données d'Oracle pour leurs services, il sont donc susceptibles d'installer Database 12c. Cela dit, on sait que Salesforce.com cherche des alternatives à la base de données d'Oracle, mais l'annonce de la semaine prochaine peut signifier que ce projet est secondaire pour le fournisseur ou tout simplement qu'il ne compte pas l'appliquer à grande échelle.

Un accord avec Microsoft dévoilé lundi 

La version 12c intègre la notion de « bases de données enfichables», qui permettra à plusieurs bases de données de tourner en toute sécurité dans une instance de base de données unique. Larry Ellison a également précisé que dans Database 12c, les bases de données enfichables seraient proposées en « option payante », et ne seraient pas comprises dans les frais de maintenance annuels. Ce changement ne devrait pas surprendre beaucoup de clients, étant donné le nombre de fonctionnalités, comme Real Application Clusters, pour lesquelles ils doivent déjà s'acquitter de droits de licence supplémentaires.


Enfin, dernière information en provenance de nos correspondants d'IDG NS, Microsoft et Oracle révéleront lundi prochain les détails d'un partenariat autour d'une série « d'initiatives surprenantes » autour de la base de données Oracle 12c.

Les logiciels d'Oracle certifiés sur Windows Azure

Les logiciels d'Oracle certifiés sur Windows Azure :


Les logiciels d'Oracle seront compatibles avec Windows Server Hyper-V  et Azure. Crédit: D.R
Les logiciels d'Oracle seront compatibles avec Windows Server Hyper-V et Azure. Crédit: D.R
L'accord conclu entre Oracle et Microsoft  garantira le fonctionnement des principaux produits du premier, de Java aux bases de données, sur les environnements virtualisés Hyper-V et sur la plate-forme cloud Windows Azure du second. Le support sera assuré par Oracle.
Oracle et Microsoft ont annoncé un partenariat sur la partie cloud. La base de données, les serveurs d'applications et le langage de programmation Java de la firme de Redwood seront pris en charge au sein d'Azure, l'infrastructure cloud de Microsoft. L'accord, qui fournira également le support d'Oracle pour la plate-forme de virtualisation Windows Server Hyper-V est un «excellent exemple de partenariat qui nous permettra de répondre aux besoins de nos clients professionnels », s'est félicité le PDG de la firme de Redmond, Steve Ballmer, lors d'une conférence de presse. « Il était grand temps, et nous nous nous réjouissons de travailler d'une façon à la fois nouvelle et constructive avec Oracle », a-t-il ajouté.

« Les utilisateurs veulent et ont besoin de plus de flexibilité pour s'adapter à un environnement économique en rapide évolution», a pour sa part commenté  Mark Hurd, co-président d'Oracle lors de la conférence de presse. « Cet accord leur donne le choix dans leur façon d'accéder et de déployer nos solutions ». Le support d'Oracle pour Azure et Hyper-V est effectif immédiatement. Les clients possédant des licences Oracle pourront les utiliser pour des déploiements sur Azure, mais ceux qui le font devront être attentifs à desrègles spéciales. La firme de Redwood a en effet établi des «environnements cloud autorisés», incluant Azure et Amazon Web Services.

Intégration d'Infrastructure Services 


En plus de cela, Microsoft prévoit d'intégrer ses instances Infrastructure Services dans les produits d'Oracle, dont sa base de données et WebLogic Server et, de son côté, Oracle offrira à ses clients la possibilité de faire tourner sa distribution Linux sur Azure. Le partenariat prévoit également la fourniture par la firme de Redmond de la licence et de la prise en charge compète de Java dans Azure. Alors que cette plate-forme avait des possibilités limitées sur Java, « nous pensons que cela fera de Java un langage de tout premier ordre grâce au support d'Oracle», a estimé Satya Nadella, président de la division Tool & Server de Microsoft.

On ne connait pas encore la disponibilité du support total de Java de même que celle des instances Infrastructure Services dans les produits d'Oracle. En attendant, les observateurs de l'industrie analyseront sans aucun doute cette annonce et ses implications d'un point de vue concurrentiel.

Alors que les deux firmes ont collaboré ensemble sur diverses questions, « dans le monde du cloud computing ce genre de collaboration en coulisses ne suffit pas», a poursuivi Steve Ballmer. « Les utilisateurs attendent plus de nous. Ils demandaient plus de la part d'Oracle ».

Tirer parti de capacités communes
Dans un sens, Oracle a été contraint de pactiser avec Microsoft, étant donné la vaste base installée de clients qui font tourner des charges de travail Oracle sur Windows Server. Ces utilisateurs, en échange des frais d'entretien annuels qu'ils paient à Oracle, attendent sans aucun doute du vendeur qu'il élargisse les options pour des déploiements basés sur Windows dès qu'ils seront disponibles, que ce soit sur site ou dans le cloud. Mark Hurd a fait allusion à ce point au cours de la conférence de presse.

Les clients sont simplement « engagés sur un grand nombre de technologies Microsoft», a-t-il souligné. Oracle et Microsoft « font des choses différentes, et il y en a peu qu'ils proposent ensemble. C'est tout à fait logique pour nous de continuer à améliorer nos propres capacités mais nous devons également permettre aux entreprises de pouvoir tirer parti de nos capacités à tous les deux. »

Oracle dispose de son propre service de cloud, qui est similaire à Azure, mais l'accord passé avec Microsoft est néanmoins en adéquation avec sa stratégie, selon Mark Hurd. «Notre cloud est ouvert », a-t-il rappelé « Il s'agit d'une propriété intellectuelle, et non pas d'une architecture livrable. Le fait que plus de gens aient accès à notre propriété intellectuelle est un point favorable. C'est une bonne chose pour nos clients et donc pour Oracle. »

La compétitivité de Microsoft renforcée


« L'accord passé avec Oracle renforcera également la compétitivité de  Microsoft face à deux de ses principaux rivaux » a prévu James Staten, analyste chez Forrester dans un billet de blog. « Il renforcera Hyper-V contre vSphere de VMware et placera Windows Azure proche d'une position égale à celle d' Amazon Web Services (AWS) dans la bataille des plate-formes cloud» . L'analyste a également noté que le support entièrement sous licence couvre tous les logiciels d'Oracle, tandis que AWS a une relation similaire sur le support avec Oracle. L'éditeur propose ses applications Fusion de prochaine génération à travers son service cloud qui dispose également de capacités PaaS (Platform as a Service) pour étendre l'offre.

Il ne fait nul doute qu'Oracle préfèrerait que ses clients s'en tiennent à son propre cloud, mais l'éditeur est conscient de la dynamique de marché derrière AWS et Windows Azure et il veut s'assurer de sa présence là où ses clients se dirigent » , a ajouté Mr Staten. « Ces mesures sont également nécessaires pour lutter contre l'utilisation généralisée des alternatives Open Source au middleware et aux bases de données d'Oracle sur ces nouvelles plates-formes de déploiement. », a-t-il conclu.

Visite des labs d'Alcatel Lucent, des drones LTE et 31 Tb/s transmis sur 7200 km


Un des drones LTE développé par Supelec et l'équipe de Vinod Kumar
Un des drones LTE développé par Supelec et l'équipe de Vinod Kumar
Comme tous les ans, Alcatel Lucent a ouvert les portes d'un de ses Bell Labs - à Villarceaux - aux journalistes pour promouvoir les technologies développées par ses chercheurs.
Pour ses désormais traditionnels Open Days, Alcatel Lucent a ouvert aux journalistes son centre de recherche Bell Labs de Villarceaux . L'occasion de faire le point sur les dernières avancées technologiques de l'équipement. Mais juste avant les rencontres avec les chercheurs,Michel Combes, le CEO d'Alcatel Lucent a présenté son ambitieux plan Shift pour les années à venir. « Je crois que l'innovation interne est toujours importante pour notre entreprise, mais il faut également accroitre notre ouverture aux partenariats externes. [...] Nous avons été critiqués dans le passé pour avoir essayé de faire beaucoup trop de choses, aujourd'hui nous allons nous concentré sur deux axes, réseaux IP et accès haut débit ». Et pour aller vite, des cessions et d'autres réductions de coût sont également au menu comme une réduction de 50 % de la R&D dans le domaine de la 3G et du GSM pour se concentrer sur le LTE.



Michel Combes, CEO d'Alcatel Lucent, avec Philippe Keryer, vice président exécutif d'Alcatel Lucent, et Jean-Luc Beylat, président d'Alcatel Lucent Bell Labs France.

Dans le domaine du haut débit, le dirigeant a mis en avant un partenariat avec Orange pour amener la fibre sur les paliers. Il a bien sûr également été question de cloud, avec notamment la pépite d'Alcatel Lucent dans le domaine du SDN, la start-up Nuages, qui a déjà commencé à travailler sur des tests avec SFR. Interrogé sur cette start-up, Michel Combes nous a précisé que d'autres initiatives de ce type n'étaient pas exclues pour accélérer certains développements. À l'origine, le projet Nuages a bien commencé chez ALU, mais les chercheurs ont vite manifesté leur envie de sortir du carcan de l'entreprise pour monter une start-up. Un modèle d'incubation que pratique déjà avec succès Cisco. L'équipementier américain réintègre ensuite - au prix fort - ses start-up dans ses lignes de produits : Insiemi pour le SDN, Andiamo, qui a réalisé les commutateurs SAN de Cisco, et Nuova qui a développé les switchs Nexus pour datacenters. Pour revenir à Alcatel Lucent, CloudBand est un autre projet de l'équipementier également piloté sous la forme d'une start-up. CloudBand est une plate-forme cloud préconfigurée reposant au choix sur OpenStack ou CloudStack destinée aux opérateurs.

Des drones 4G/LTE 


Pour revenir aux Open Days, nous avons pu rencontrer certains chercheurs travaillant sur des projets réseau, mais également big data, puisqu'une équipe d'une vingtaine de personnes travaillent sur le sujet. Frédérique Pain, VX design strategy, et Jean-Baptiste Labrune, foresight director acceleration plateforme, chez Alcatel Lucent, nous ont éclairé sur le travail de cette équipe avec le projet SmartWallk réalisé avec un opérateur français pour le compte d'un client dans le monde médical. Pour soigner des problèmes de sommeil, un smartphone dans la poche d'un patient enregistre et transmet un certain nombre de paramètres dans la journée pour analyser l'activité du patient (distance parcourue, nombre de SMS et de coup de fil passés ou reçus...) Les données sont ensuite analysées avec un scénario établi par l'équipe de l'Acceleration plate-forme pour comprendre quels éléments perturbent le sommeil du patient. Le travail du lab consiste ici à établir les liens qui permettront de traiter les données récupérées par le terminal mobile.

Autre lab visité parmi la trentaine proposée, le projet de drone LTE réalisé avec Supelec. Supervisé par Vinod Kumar, ce programme consiste à déployer une nuée de drones équipés d'un relais LTE pour assurer une meilleure couverture dans une zone, un très grand stade pendant une manifestation sportive nationale ou international par exemple. Il n'est pas question d'augmenter les capacités du réseau LTE mais de mieux distribuer les faisceaux disponibles depuis le ou les stations de base. Les capacités sont mieux partagées et distribuées en fonction de la demande. Le drone, équipé de six rotors, a été entièrement développé par l'équipe. Des usages civils et militaires sont envisagés même si l'armée préfère travailler sur des femtocell/mesh dans des véhicules terrestres pour couvrir un champ de bataille.

Des noms greffés au paquet


Toujours au coeur du métier de l'équipementier, le programme routeur avec noms, vise à optimiser le transport des données avec l'ajout d'une information - un méta-tag en fait - dans les paquets IP. Diego Perino, chercheur au Labs, nous a expliqué les détails de ce projet. Un switch 10 gigabit équipé de contrôleurs multicoeurs capable de traiter 2 millions d'entrées est nécessaires pour traiter toutes les données. On passe en effet de 500 000 entrées à plusieurs millions avec ce système de gestion des paquets qui vient compéter les solutions SDN. Le nom du paquet peut être attribué par un logiciel client (VLC par exemple), un proxy interceptant les requêtes ou un switch. L'idée est bien sûr d'optimiser le trafic des vidéos particulièrement gourmandes en ressources sur Internet. Un groupe de travail dépendant de l'IRTF travaille sur le sujet pour concilier les efforts dans ce domaine.



Sébastien Bigo, directeur du WDM Dynamic Networks chez Alcatel-Lucent

Terminons avec une rencontre toujours très passionnante, celle de l'équipe à l'origine de la technologie 100 Gigabit pour les transmissions sous-marines entre les continents. Sébastien Bigo, directeur du WDM Dynamic Networks chez Alcatel-Lucent nous a expliqué qu'ils venaient de battre un record mondial avec une transmission de 31 Tb/s sur une distance de 7200 kms avec un seul lien. Pour atteindre cette distance, le laboratoire travaille en boucle (x10) avec une vingtaine de bobines totalisant 720 km. Habitué aux records, cette équipe travaille aujourd'hui sur la technologie 400 Gigabit/s (deux liens 200 Gigabit/s en fait), attendue sur le marché dans trois ans. Alcatel Lucent vient de commencer la pose d'un câble totalisant 10 Tb/s (100 lasers modulés à 100 Gigabit/s) sur une distance de 10 000 km entre l'Amérique du Nord et les iles des Caraïbes

Free propose enfin une option 3G femtocell à sa box

Free propose enfin une option 3G femtocell à sa box : 


Le module femtocell s'insère très simplement à l'arrière de la box Revolution
Le module femtocell s'insère très simplement à l'arrière de la box Revolution
Moyennant la somme de 10€, Free propose une connexion mobile 3G femtocell pour ses abonnés Freebox Révolution.
Les abonnés équipés de la Freebox Révolution peuvent désormais commander un boîtier relais 3G femtocell afin d'améliorer leur connexion au réseau Free Mobile à leur domicile. La Freebox Révolution a été conçue dès l'origine pour intégrer un boîtier Femtocell. Celui-ci est à commander sur le site de Free, dans la rubrique "mon compte", moyennant 10€ (contre 79€ chez Orange). Il ne nécessite ensuite ni branchement de câble ni activation particulière, il suffit d'insérer le module dans un emplacement à l'arrière de la box. La connexion du mobile à la Femtocell est automatique dès qu'un abonné Free Mobile se trouve à proximité d'une Freebox Révolution qui en est équipée. Free annonce que cette première génération de boîtier Femtocell sera amenée à évoluer à l'avenir vers la 4G/LTE.

Avec cette option, Free renforce à bon compte son réseau mobile sans déployer d'antennes supplémentaires. Les relais seront en effet assurés par les modules femtocell. SFR et Orange proposent déjà cette option sur leurs box ADSL. Prochaine révolution attendue chez Free, l'arrivée en septembre du VDSL2 sur tout le territoire. La technologie, déjà en test en Dordogne et Gironde, devrait permettre de doubler voir même tripler les débits de l'ADSL2, suivant la distance entre l'abonné et le répartiteur. Pour savoir si votre ligne ADSL est éligible au VDSL2, vous pouvez vous connecter à ce site d'OVH: www.ovhtelecom.fr/vdsl/eligibilite.xml?Testezvotrenum%C3%A9ro

Windows 8.1 : le bouton démarrer s'affiche en vidéo

Windows 8.1 : le bouton démarrer s'affiche en vidéo


nouveautés Windows 8
Microsoft a fait la démonstration d’un grand nombre des nouveautés qui viendront agrémenter la mise à jour de Windows 8 ces dernières semaines, mais pas grand-chose concernant le bouton démarrer.
Ainsi, il aura fallu attendre le Computex pour voir Microsoft présenter rapidement la fonctionnalité du bouton démarrer qui fera sa réapparition dans Windows 8.1.
nouveautés Windows 8 Jusqu’ici simplement supposé ou présenté depuis des captures d’écran, Microsoft a finalement joué le jeu en dévoilant l’animation que fournira ce nouveau bouton.
Car pas question de faire la relation entre le bouton démarrer de Windows 7 et antérieur avec celui proposé par Windows 8.1, aucun menu déroulant n’est à l’ordre du jour ni aucune fonctionnalité que l’on connaissait jusqu’ici attitrée à ce bouton.
Le bouton démarrer de Windows 8.1 permettra ainsi simplement de basculer vers l’interface Modern UI intégrée windows 8 retour du bouton démarrer  au bureau .
L’idée de Microsoft est de changer la façon dont Modern UI est actuellement perçue par les utilisateurs, et de la présenter comme une version plus personnalisée de l’OS, une interface qui ne sert que de second espace de travail pour établir des raccourcis.
Si on peut regretter ne pas voir le menu démarrer revenir sur le devant de la scène, le basculement simplifié entre les deux interfaces pourrait effectivement permettre enfin de jouir des deux interfaces comme Microsoft a toujours souhaité les présenter : de façon complémentaire plutôt qu’exclusive.
Windows 8.1 permettra également la synchronisation des fonds d’écrans sur Modern UI ainsi qu’undémarrage automatique sur l’interface bureau traditionnelle.
Plus que jamais, Microsoft souhaite rassurer les utilisateurs et tenter de revaloriser son OS, tout en restant persuadée que sa double interface représente un atout significatif

Windows 8.1 : le retour du bouton démarrer repéré sur une capture d'écran

Windows 8.1 : le retour du bouton démarrer repéré sur une capture d'écran


windows 8 retour du bouton démarrer
Paul Thurrott du site winsupersite vient de partager deux images subtilisées à Windows 8.1, la prochaine mise à jour à destination de l’OS de Microsoft. Des clichés qui n’ont rien d’anodin puisqu’ils laissent apparaitre le retour du bouton démarrer.
Deux clichés ont ainsi été publiés et font déjà le buzz sur la toile, et principalement auprès des utilisateurs de Windows 8 déçus de la disparition du fameux bouton démarrer.
blue-desktop Malheureusement, si le bouton démarrer sera bel et bien présent dans la mise à jour de Windows, il n’est actuellement pas question pour autant de récupérer le Menu démarrer tel qu’il était proposé dans les anciennes versions de Windows.
Alors à quoi pourrait servir ce bouton ? Tout simplement à créer un lien visuel entre les deux interfaces : Bureau et Modern UI.
gros plan bouton démarrer windows 8 Un tour de passe-passe qui ne devrait pas satisfaire les utilisateurs qui grognent encore sur l’absence de véritable menu démarrer.
Windows 8.1 demarrer D’autant que comme le rapporte Paul Thurrott, le bouton ne serait qu’un simple accessoire visuel, un gadget que Microsoft proposerait en option puisqu’il ne sera pas activé par défaut lors de la mise à jour.
Pourtant, Il s’agira aussi pour Microsoft d’effectuer une transition entre les deux interfaces qui partageront un écran commun lorsque l’utilisateur cliquera sur ce nouveau bouton. Un menu apparaitra alors, intégrant une partie des tuiles de Modern UI en superposition sur le bureau traditionnel.
Ainsi, pour Microsoft, le retour du bouton démarrer pourrait être une façon d’encourager les utilisateurs à essayer les deux interfaces, ou du moins, à se faire à l’idée de disposer d’une seconde interface.
Finalement, à défaut de rapporter un peu de Windows 7 dans Windows 8, ce bouton démarrer ancrera davantage l’interface Modern UI dans l’OS.

Windows 8.1 : le bouton Démarrer dévoilé

Windows 8.1 : le bouton Démarrer dévoilé :

windows-8-logo
Le bouton Démarrer de Windows 8.1 est dévoilé avant l'heure via la publication d'une préversion de Windows Server 2012 R2.
Mercredi, Microsoft va diffuser une préversion publique de Windows 8.1. La firme de Redmond a déjà officiellement annoncé qu'un bouton avec le logo familier de Windows sera visible dans la barre des tâches sur le Bureau.
Par ailleurs, des options vont permettre d'agir sur le comportement des coins de l'écran et pour démarrer sur d'autres écrans que le Start Screen. Il sera ainsi possible de choisir d'avoir l'écran des applications en arrivant sur le Start Screen - ou écran d'Accueil - plutôt que les vignettes.
Sans attendre la préversion de Windows 8.1, ces annonces et autres ont pris forme avec la publication pour les abonnés MSDN et TechNet d'une préversion de Windows Server 2012 R2. Elle dévoile le bouton Démarrer sur le Bureau et des options dans un nouvel onglet Navigation des propriétés de la barre des tâches.
Un clic sur ce bouton Démarrer permet la bascule entre le Bureau et le Start Screen, mais un clic droit fait apparaître le menu pour les utilisateurs avancés déjà proposé avec Windows 8 tout en étant plus complet. Rappelons en effet que même sans le bouton Démarrer, un clic droit sur le coin inférieur gauche dans Windows 8 donne accès à un tel menu.
Il est plus complet car il dispose d'options pour arrêter et redémarrer le système d'exploitation. Une mécanique à laquelle les utilisateurs Windows sont rodés depuis des lustres et qui a été légèrement perturbée avec l'arrivée de Windows 8.
Windows-8.1-clic-droit-bouton-demarrer
Les options de navigation proposent de désactiver le coin supérieur droit pour l'accès à la barre des Charms ou le coin supérieur gauche. De même, la possibilité attendue de démarrer directement sur le Bureau plutôt que sur l'écran d'Accueil après une connexion.
Windows-8.1-options-barre-taches-navigation
On notera que si Microsoft a répondu aux commentaires des utilisateurs, ces derniers devront jouer avec les options qui seront disponibles.

Friday, June 21, 2013

Comment jailbreaker votre iPhone passé iOS 6.1.3 (Tethered)...

Comment jailbreaker votre iPhone passé iOS 6.1.3 (Tethered)...
Comme nous l'avons vu, la MAJ à l'iOS 6.1.3 ne permet plus le jailbreak via l'outil Evasi0n (qui est tout de même opérationnel de l'iOS 6 à 6.1.2). Toutefois, il existe une solution pour ''sortir de prison'' certains iDevice, si vous avez malencontreusement fait cette MAJ.

Si vous avez un iPhone 3GS ou iPhone 4 ou iPod 4G et que vous êtes sous iOS 6.1.3, vous pouvez effectuer un jailbreak de façon Tethered avec Redsn0w.

Vous êtes concernés? Suivez ce tutoriel:

Ne concerne que
- Un iPhone 3GS
- Un iPhone 4
- Un iPod 4G

Télecharger:
- Redsn0w 0.9.15b3 Mac - Windows ( que vous trouverez ICI )
- iOS 6.1.3 ou iOS 6 (suivant votre iDevice)

Attention vous allez procéder à un jailbreak Tethered, donc qui n’est pas capable de démarrer avec l’appareil. A chaque reboot (après que la batterie aie été vidée ou lors d’un redémarrage) il faudra donc brancher l’iPhone, l’iPad ou l’iPod Touch à un PC pour le relancer. Ceci est plutôt pénalisant et c’est pour cette raison que les jailbreak tethered sont souvent déconseillés sur les iPhone.

Etape 1
Téléchargez l'iOS 6.0 à partir du lien fourni ci-dessus.

Étape 2:
Téléchargez et lancez la dernière version de Redsn0w 0.9.15b3 et l'exécuter

Étape 3:
Cliquez sur le bouton Extras et choisissez Sélect IPSW

Étape 4: Dans l'écran Redsn0w, cliquer sur Jailbreak et suivez les simples instructions à l'écran. Lorsque vous serez invité, choisissez d'installer Cydia.

Étape 5: Vous serez invité à entrez en mode DFU avec l'aide de l'assistant de Redsn0w.

RedsnOw va donc commencer en arrière plan à préparer le jailbreak, cette opération dure quelques minutes.

Voilà votre iPhone 3GS - iPhone 4 - iPod 4G est jailbreaké...

Si votre appareil s'éteint, il vous faudra connecter votre iDevice sur votre PC ou Mac, puis lancer Redsn0w et cliquez sur Extras, puis cliquez sur l'option Boot Juste (votre iDevice sera ainsi de nouveau jailbreaker.